8 décembre 2017

Para natation & para haltérophilie : les Bleus brillent aux Mondiaux de Mexico

NATATION

 

La jeune délégation tricolore composée de cinq nageurs termine le Championnat du Monde avec cinq jolies médailles au compteur et un titre mondial ! Avec cinq représentants français en lice à Mexico, le contrat semble rempli puisque quatre des cinq nageurs ont accroché une médaille.

À 16 ans seulement, Ugo Didier remporte son 1er titre mondial sur le 100m dos. Théo Curin quant à lui remporte l’argent sur le 100m et 200m nage libre Les féminines de l’équipe ont elle aussi fait monter le compteur des médailles puisque Anaëlle Roulet et Emeline Pierre se partagent le podium avec respectivement l’argent et le bronze (100m dos).

La France termine donc à la 18e place au classement des nations.

 

Médailles

Or

Ugo Didier sur 100m dos en catégorie S9

Argent

Theo Curin sur 100m nage libre en catégorie S1-S5

Theo Curin sur 200m nage libre en catégorie S5

Anaelle Roulet sur 100m dos en catégorie S10

Bronze

Emeline Pierre sur 100m dos en catégorie S10

4ème place

Mael Cornic sur 100m et 400m nage libre en catégorie S8

Theo Curin sur 50m dos et 50m nage libre en catégorie S5

Ugo Didier sur 400m nage libre en catégorie S9 et 200m 4 nages en catégorie SM9

 


 

HALTEROPHILIE

 

Elle s’était contentée de l’argent en 2016 à Rio mais l’athlète du nord de la France a pris sa revanche. En effet, Souhad Ghazouani a décroché la médaille d’or en -73kg en développé couché à Mexico.

Après un premier essai à 140kg, la française a finalement décroché son titre mondial à l’issue d’un 2e essai à 145kg. Malgré une tentative non fructueuse à 151kg, Souhad conserve néanmoins le record du monde avec une barre à 150 kg, record obtenu en 2013.

 

 

Podium femmes en -73 kg :

1 – Souhad Ghazouani (France) – 145 kg

2 – Miaoyu Han (Chine) – 121 kg

3 – Ndidi Nwosu (Nigéria) – 120 kg

 

NB : L’haltérophilie handisport se limite à la pratique du développé couché.  Le mouvement international paralympique s’apparente au mouvement pratiqué par les valides. Seul le banc est spécifique pour offrir plus de stabilité aux haltérophiles handicapés de membres inférieurs.

 

Crédit photo : G.Picout / CPSF